Tout a commencé avec un garçon en t-shirt à manches longues ...

Quelques mois seulement avant les Jeux olympiques d’hiver de 1994 à Lillehammer, le patineur de vitesse norvégien Johann Olav Koss a dirigé un voyage humanitaire dans le pays africain nouvellement formé, l’Érythrée. Là, il a été confronté aux réalités de la vie dans un pays sortant de décennies de guerre.

Alors que les enfants jouaient au milieu de chars brûlés, entourés d’images de martyrs de la guerre, un garçon s’est démarqué et a cristallisé une idée pour Johann qui écrirait l’avenir de Right To Play.

Il a rencontré le président de l'Érythrée et lui a déclaré: «Vous avez besoin de nourriture et j'ai apporté du matériel de sport. J'ai fait une erreur. Je suis désolé.' Le président a regardé Johann et a déclaré: 'C'est le plus beau cadeau que nous ayons jamais reçu. Pour la première fois, nous sommes traités comme des êtres humains, pas seulement comme des objets à garder en vie. Pour la première fois, mes enfants peuvent jouer comme n'importe quel enfant.

Pour Johann, c'était le point de départ de quelque chose de plus grand. Depuis lors, le pouvoir du jeu a aidé des millions d’enfants à se relever et à retrouver l’espoir.

2001 - 2004

NLeurss premières années sont axées sur les besoins humanitaires en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient.

Des programmes sont lancés en Ouganda, en Tanzanie, au Mozambique, au Mali, en Thaïlande, au Rwanda et dans les Territoires palestiniens, aidant ainsi 500 000 enfants à grandir chaque semaine.