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Appui au Développement Intégral et la Solidarité sur les Colline Appui au Développement Intégral et la Solidarité sur les Collines: EVALUATION  du Programme de renforcement des capacités d’employabilité et d’auto emploi des jeunes au Burundi : PRO JEUNES EMPLOI II

EVALUATION du Programme de renforcement des capacités d’employabilité et d’auto emploi des jeunes au Burundi : PRO JEUNES EMPLOI II
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EVALUATION  du Programme de renforcement des capacités d’employabilité et d’auto emploi des jeunes au Burundi : PRO JEUNES EMPLOI II

TERMES DE REFERENCE

1.    CONTEXTE

ADISCO est une asbl de droit burundais créé en 2006. Sa mission est de : « Accompagner l’émergence et le développement d’un mouvement social national capable de porter son propre développement et d’influencer les politiques au profit des couches modestes de la population ». Ce mouvement repose sur 3 piliers : le mouvement coopératif, le mouvement mutualiste et le mouvement des entrepreneurs.  Le projeunes Emploi fait partie de la Maison de l’entrepreneur, le département d’Adisco en charge d’accompagner l’émergence du mouvement des entrepreneurs.

C’est donc sous ce volet que l’organisation Suisse IRED.ORG, avec l’appui financier de la FGC (Fédération Genevoise de Coopération) appuie ADISCO pour la mise en œuvre du PROJEUNES EMPLOI II. Comme l’indique son nom, ce projet est une 2e phase, la première ayant été exécutée entre Juin 2015 et Mai 2018. Elle a donc pris la relève pour la période allant de Juin 2018 à Mai 2021.

Au centre du Projeunes Emploi se retrouve la problématique d’accès à l’emploi pour les jeunes, une question mondiale avec des conséquences graves sur la stabilité des pays. Au Burundi, les jeunes de 15-24 ans représentent à eux seuls un tiers de l’ensemble de la population en âge de travailler, soit 34,1% de la population en âge de travailler. Les données brutes du dernier recensement des jeunes chômeurs commandité par son Excellence le Président de la République du Burundi en Septembre 2020 révèlent que 286 515 jeunes (dont 132 483 filles/femmes) sont au chômage. Parmi eux, 89% ont un niveau secondaire, 10% un niveau universitaire et 1% un niveau primaire. Plusieurs acteurs tentent d’apporter leur contribution à la résolution de cette question. ADISCO, à travers le Projeunes emploi a choisi d’améliorer l’employabilité et les capacités entrepreneuriales des jeunes ruraux et urbains, sur les activités agricoles et non agricoles, afin qu’ils créent ou accèdent à un emploi.  La première phase du projet (Juin 2015-Mai 2018) a accompagné 726 jeunes autour des filières novatrices agricoles, la formation, le conseil et le coaching entrepreneurial, l’apprentissage en entreprises, la facilitation à l’accès au financement et le plaidoyer pour l’emploi des jeunes. Ces jeunes ont créé des AGR (157), des micro-entreprises non agricoles(29) et des coopératives (3). La 2e phase avait donc pour finalités de porter à échelle les initiatives entrepreneuriales de la première phase et de mener un plaidoyer auprès des décideurs sur cette problématique.

Les bénéficiaires du Projeunes emploi sont donc des jeunes répartis dans 4 communes rurales (Bugenyuzi, Gihogazi, Kabarore, Busiga) et dans la ville de Bujumbura.

2.    DESCRIPTION DU PROJET

2.1.       Objectifs du Projet

L’objectif général : Améliorer les conditions de vie des populations de Karuzi, Ngozi, Kayanza et Bujumbura en général et des jeunes en particulier.

Objectif spécifique : Porter à échelle les micro-entreprises, les AGR et les coopératives agricoles et non agricoles de la première phase afin d’améliorer les revenus des jeunes, créer des emplois, et servir  de modèle pour influencer les politiques en faveur de l’emploi des jeunes au Burundi.

2.2.       Le cadre logique du projet

 INDICATEURS

 

BaselineSOURCES DE VERIFICATION HYPOTHESE/

SUPPOSITION

Objectif général : Améliorer les conditions de vie des populations de Karuzi, Ngozi, Kayanza et Bujumbura en général et des jeunes en particulier.80% des ménages de jeunes accompagnées (dont au moins 40% des jeunes femmes) sont satisfaits de leur niveau d’accès aux soins de santé, à un habitat décent, à la scolarisation des enfants et à la sécurité alimentaire Enquêtes annuelles et rapports 

·         La situation politico-économique et sécuritaire ne se dégrade

Objectifs spécifique / Outcome – effets

Porter à échelle les micro-entreprises, les AGR et les coopératives agricoles et non agricoles de la première phase afin d’améliorer les revenus des jeunes, créer des emplois, et servir  de modèle pour influencer les politiques en faveur de l’emploi des jeunes au Burundi.

–   Au moins 100 emplois permanents et 200 temporaires créés par ou pour les jeunes (H/F) accompagnés ;

–   Les AGR, les micro-entreprises, les PME et les coopératives mis en place ont atteint au moins le niveau 3 sur l’échelle d’autonomie ;

–   Les revenus des jeunes (H/F) accompagnés ont augmenté d’au moins  50%.

  

 

 

Les rapports du projet

 

Résultats attendus / produits – OutputsIOV SDVHYP/SUP
Résultat attendu 1 : Les compétences et les revenus des jeunes ont étés améliorés grâce à la mise à échelle des filières novatrices et attractives  agricoles existantes (prunier du japon, gingembre et maracuja) ainsi que  l’introduction de nouvelles jugées plus porteuses par la recherche-action au sein de l’UPH (curcuma, quinoa, …)1.1. Au moins 800 jeunes (minimum 320 femmes) améliorent la maitrise technique des filières novatrices agricoles  grâce à la formation  des équipes de jeunes professionnels

1.2. Au moins 100  jeunes champions assurent la production et/ou la collecte des produits des filières novatrices ;

1.3. Une PME agricole est mise en place et est compétitive au niveau national et/ou régional)

–   595 jeunes agri

–   Environ 40 jeunes champions producteurs

–   0 PME

– Rapport du projet

– Visites de terrain

 

–     Les effets du changement climatiques, les maladies des plantes et des animaux sont mitigés

–     Les importations des produits concurrents restent modérées

–   La situation économique et politico-sécuritaire ne dégénère pas au-delà de la situation actuelle

–   L’inflation est maitrisée

 

Résultat attendu 2: L’employabilité et l’auto-emploi des jeunes ruraux et urbains ont augmenté suite à la mise à échelle des micro-entreprises et AGR non agricoles de la première phase et le développement de nouvelles idées et/ou technologies novatrices2.1. 50% des AGR et micro-entreprises de la première phase (30% portées par les femmes) doublent leur chiffre d’affaires

2.2. Des micro-entreprises de la première phase émergent au moins 2 PME

2.3. Au moins 10 nouvelles idées et technologies novatrices identifiées, développées et diffusées auprès des jeunes H/F

–     CA moy  micro-entreprise7 129 167

–     0 PME

–     0

–     Rapport du projet

–     Visites de terrain

 

Résultat attendu 3 : Le cadre de vie des jeunes, de leurs ménages et de la communauté a été amélioré suite à une meilleure gestion des revenus issus des initiatives économiques promues et le développement des mécanismes de solidarité et de financement des initiatives locales (habitat, MS, assurance,…)3.1. 50% de jeunes investissent leurs revenus dans leur croissance personnelle (hors entreprise), celle de leurs ménages ou de la communauté ;

3.2. Au moins 40% des ménages des jeunes sont affiliés à une mutuelle de santé, adoptent des pratiques pour l’amélioration de l’habitat, et sont résilients au changement climatiques

–    A évaluer

–    40% ont adhéré à la mutuelle de santé uniquement

 

Rapport du projet

 

Résultat attendu 4: Des structures en lien avec la MDE ont été mises en place afin de canaliser la  mutualisation des ressources et la défense des intérêts à travers un plaidoyer actif pour l’instauration d’un climat favorable à l’insertion socio-économique et l’emploi des jeunes4.1. Au moins 2  structures par commune bénéficient des services de la MDE pour le développement de leurs services/produits;

4.2. Des avantages légaux sont offerts aux jeunes entrepreneurs ou aux entreprises formatrices ;

4.3. Au moins une mesure ou un texte adopté pour favoriser l’insertion socio-économique des jeunes

–   3 communes ont 1 structure

–   Pas d’avantages ni de texte

–     Rapport du projet

 

–     Textes légaux

 

 

Résultat attendu 5 : Le projet est géré de façon optimale et ses résultats capitalisés

 

5.1. Un système d’accompagnement spécifique à la MDE est clairement défini

5.2. Un document de capitalisation est produit à la fin du projet

–     A formaliser

–     Voir fin projet

Rapport de projet

 

 
Activités /Inputs

R1 Activité 1 : Améliorer les compétences techniques des jeunes sur les filières novatrices

R1 Activité 2 : Assurer un accompagnement technique des exploitations

R1 Activité 3 : Faciliter l’accès au financement (intrant, petit équipement d’irrigation…)

R1 Activité 4 : Appuyer la mise en œuvre d’une PME agricole

 

R2 Activité 1 : Sensibiliser à l’esprit d’entreprise

R2 Activité 2 : Organiser des formations entrepreneuriales, des formations techniques et à la rechercher d’emploi

R2 Activité 3 : Organiser des séances d’appui conseil, coaching  et mentorat régulier

R2 Activité 4 : Développer une stratégie commerciale et marketing adaptée aux besoins des jeunes

R2 Activité 5 : Faciliter l’accès au financement

 

R3. Activité 1 : Appuyer les jeunes à se doter d’une vision et à élaborer des plans d’action pour leur croissance, celle de leurs ménages et de la communauté

R3. Activité 2 : Développer des mécanismes de mobilisation des ressources

 

R4. Activité 1 : Appuyer les jeunes dans la réflexion sur la structuration

R4. Activité 2 : Développer au sein de la MDE des services de qualité à offrir aux différentes structures

R4. Activité 3 : Mener des actions de lobbying et  plaidoyer en faveur de l’emploi des jeunes

 

R5. Activité 1 : Doter la MDE des outils stratégiques

R5. Activité 2 : Organiser le suivi, l’évaluation, la capitalisation et d’audit du projet

 

3.    EVALUATION

  • Objectif de l’évaluation

Cette évaluation a un double objectif : (1) Mesurer le niveau de  réalisation des activités,   des résultats attendus et des objectifs fixés au départ et appréhender les effets induits par elles ; (2) Donner des orientations pour des perspectives en cas de besoin.

 

  • Les questions clés de l’évaluation

L’évaluation devra s’atteler à mesurer la pertinence, l’efficacité, l’efficience, la durabilité et l’impact du projet et permettre de formuler une nouvelle phase 2021-2024 qui permette d’engranger des changements significatifs aussi bien pour les bénéficiaires que pour la communauté. Elle se concentrera sur :

  1. La pertinence du projet en fonction du contexte, des politiques nationales et internationales, le programme global d’ADISCO, de l’IRED et de la FGC de l’ensemble du projet, mais aussi de chacune de ses composantes et de la méthodologie ;
  2. L’évaluation de l’approche : Les activités planifiées pouvaient-elles conduire à l’atteinte des résultats ? Le paquet d’accompagnement accordé aux jeunes aussi bien sur le volet agricole que non agricole a-t-il permis de porter à échelle les initiatives de la première phase ? A-t-elle permis de créer de l’emploi ?
  3. La réplicabilité de l’approche : Cette approche peut-elle être reproduite ? Si oui qu’est-ce qui fait son originalité ? Ses facteurs de succès ? quelles bonnes pratiques méritent d’être portées à échelle et diffusées auprès des autres acteurs et en particulier des décideurs ? Quelles seraient  les tares qui ont contribué à limiter cette réplicabilité ?
  4. La durabilité : Les initiatives et dynamiques (activités des entrepreneurs agricoles, IGG, AGRs, microentreprise, coopératives, Juakali) développées par les jeunes sont-elles durables (la dépendance financière et technique des ressources externes, l’appropriation) ; viables (les revenus générés VS charges, la maitrise de la gestion) ;
  5. L’efficacité et l’effectivité du projet à savoir l’atteinte des objectifs spécifiques et des résultats ainsi que la mise en œuvre des activités tel que prévu par la fiche de suivi du projet et les communications avec le bailleurs de fonds;
  6. L’identification et l’analyse ‘contextualisée’ des effets du projet sur les groupes-cibles, y compris les effets inattendus ;
  7. L’efficience du projet : adéquation moyens/réalisations ;
  8. La prise en compte lors de la mise en œuvre du projet des recommandations du comité technique de la FGC, bailleur du projet et en particulier le nombre des microentreprises devenues des PME, les questions de plaidoyer financier en faveur d’une banque étatique pour la promotion l’emploi des jeunes, ainsi que les allègements fiscaux consentis aux entreprises qui acceptent des jeunes en formation, le nombre de jurys d’attribution des financements organisés, ainsi que le nombre de jeunes ayant eu accès aux crédits, le niveau d’appropriation des filières novatrices par les jeunes. Les données quantitatives seront détaillées par genre.
  9. Les questions transversales genre et environnement
  10. La cohérence avec les priorités nationales et celles de la société civile
  11. La proposition des recommandations utiles et concrètes pour la réussite d’une prochaine phase du projet aussi bien au niveau des contenus que de la méthodologie
  12. A côté de ces critères CAD, la mission devra répondre aux questions spécifiques ci-dessous :
    1. Comment le contexte de la COVID-19 a affecté le projet et surtout les microentreprises des jeunes ? Quelles mesures pourraient être prises pour les sauver/renforcer ?
    2. Quels sont les facteurs principaux qui expliquent la réussite ou l’échec du volet agricole et non agricole ? Les éléments du contexte tels que les sanctions internationales, la surpopulation conduisant à l’exiguïté des terres, la faiblesse du tissu industriel formel ont-ils affecté ces volets… ?
    3. Le Gouvernement du Burundi a pris de nombreuses initiatives volontaristes en faveur de l’emploi des jeunes, quelle est la place, la valeur ajoutée, la spécificité d’un petit projet d’appui aux jeunes ?
    4. Comment appréciez-vous les synergies entre le Projeunes emploi et le CALYD soutenu par la Fondation Roi Baudouin ? Les risques de doublon ont-ils été évités ?
    5. Enfin et surtout : ADISCO a pris une orientation forte d’autonomiser la MDE, le département qui porte le Projeunes emploi. Comment appréciez-vous les orientations prises à cette fin ? Quel serait le sort des entreprises accompagnées jusque-là?

 

4.    METHODOLOGIE DE L’EVALUATION ET MANDAT DU CONSULTAT

Le consultant en sa qualité d’expert avéré dans l’évaluation des programmes de développement et d’accompagnement à la création d’emploi et des petites entreprises proposera dans l’offre technique  la méthodologie qui lui semble la mieux à même d’atteindre les objectifs de la mission. Il privilégiera :

  • une approche participative incluant le public cible et les partenaires, du travail en atelier, dans une dynamique de concertation et d’échanges. Toutefois, le consultant est libre d’exiger leur absence à certains entretiens. L’évaluation reste néanmoins externe ;
  • Une approche qualitative tout en intégrant les données quantitatives dans les analyses ;
  • Des analyses SWOT par résultat pour dégager les grandes pistes d’une prochaine phase du projet.

 

Sans être exhaustif, son travail consistera à :

  • Lire toute la documentation du projet et présenter toutes les données quantifiées disponibles;
  • Mener des entretiens et visites sur terrain auprès des bénéficiaires et dans certains cas de l’administration locale ou autres partenaires;
  • S’entretenir avec l’équipe d’ADISCO et éventuellement d’autres partenaires susceptible de fournir un avis sur le projet ;
  • Organiser un atelier de restitution de ses constats et recommandations à l’équipe d’ADISCO ;
  • Produire un rapport définitif de la mission d’évaluation.

Le Consultant pourra également accéder à toute la documentation nécessaire à la réalisation de son travail, en l’occurrence : le rapport de la première phase, le dossier du projet, les rapports d’étapes, les rapports de certaines activités, le rapport du séminaire stratégique de l’ADISCO tenue en fin 2018 et le plan d’autonomisation de la MDE .

La mission se déroulera dans la ville de Bujumbura et dans 3 provinces rurales: Karuzi (commune Bugenyuzi et Gihogazi) au centre-ouest du pays, à Kayanza (Commune Kabarore) et Ngozi (commune Busiga) au Nord.

 

5.    LES LIVRABLES

  • Un rapport provisoire avec toutes les annexes en version électronique compatible avec MS WORD. Le rapport comprendra un résumé exécutif ne dépassant pas deux pages ;
  • Une présentation powerpoint du debriefing de la mission ;
  • Un rapport définitif, intégrant tous les avis issus de debriefing et du rapport provisoire ;
  • Tous les documents collectés lors de la mission susceptibles d’intéresser le projet ;
  • Des fichiers éventuels de calcul ou de présentation.

 

6.    PROFIL DU CONSULTANT

L’offre est ouverte aux consultants nationaux ou internationaux justifiant des documents nécessaires pour effectuer une mission au Burundi dans le contexte de restriction des voyages occasionné par la COVID-19.

Le consultant devra  avoir une expérience d’au moins 10 ans dans l’évaluation de programmes de développement et en particulier dans l’évaluation des programmes visant la création d’emplois pour les ruraux et urbains.

Il devra ensuite justifier d’un portefeuille d’au moins 5 évaluations de projets/programmes dont au moins 2 en Afrique.

Une expérience au Burundi est un atout et dans le cas contraire,  le consultant s’informera du contexte  particulier du pays.

Le consultant chef de mission doit avoir au minimum un niveau master avec une expérience sur terrain dans l’accompagnement à l’accès à l’emploi.

Des documents confirmant cette expérience devront faire partie de l’offre technique.

 

7.    PRESENTATION DE L’OFFRE & MODALITES DE SOUMISSION

Les présents termes de référence seront diffusés sur les sites internet d’ADISCO et Ired.org et autres sites spécialisés dans le recrutement L’offre devra comprendre : une lettre de motivation, un CV actualisé du consultant, une offre technique et une offre financière. La lettre de motivation devra indiquer la disponibilité du consultant pour la période.

La date limite de dépôt des offres est fixée au 24/11/2020 à 22H GMT. Les offres se font exclusivement par voie électronique envoyée simultanément à libere.bukobero@adisco.org, chantal.ntima@adisco.org, deontimaniyonk@yahoo.fr

La mission est ainsi organisée  en 10 jours comprenant les missions de terrain, voyage, débriefing, restitution et la rédaction des rapports.

L’offre financière doit couvrir les honoraires, les frais d’hôtel et de repas, les frais de secrétariat et de communication et les frais de déplacement internationaux.

Les frais de déplacement locaux et des ateliers éventuels avec les acteurs sont à charge du commanditaire.


8.    CALENDRIER

L’évaluation s’organisera entre le 23 Novembre et le 20/12/2020. Les activités de terrain se dérouleront la semaine du 30 Novembre et la restitution la semaine du 14 Déc. Le rapport final est attendu au plus tard le 20 Déc 2020.

 

9.    PERSONNES DE CONTACT

ADISCO

 

ADISCO
Libère BUKOBEROChantal Ntima
31, Ave des Etats Unis, Quartier Kigobe31, Ave des Etats Unis, Quartier Kigobe
Tél :

+257 22 25 75 20

+257 79 360 530

Tél :

+257 22 25 75 20

+257 79 28 25 04

libere.bukobero@adisco.orgchantal.ntima@adisco.org
BURUNDI BURUNDI

 

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L’association ‘’Appui au Développement Intégral et la Solidarité sur les Collines’’: ADISCO en sigle, est une asbl de droit burundais reconnue par l’ordonnance N0 530/759 du 2 août 2006. Elle est composée de membres souscrivant aux valeurs de l’Association et à son analyse stratégique et qui font preuve d’un engagement attesté pour la cause de la solidarité nationale et/ou du développement.

L’Assemblée Générale de l’ADISCO est composée de 19 membres et son Conseil d’administration de 8 personnes choisies au sein de la société civile, des hommes et femmes d’Eglise, des parlementaires, des universitaires/chercheurs, des leaders paysans et syndicaux ayant fait preuve d’initiatives pour transcender les clivages qui déchirent le pays. Ils proviennent également d’horizons diversifiés qui respectent les éléments de diversité de la société burundaise : genre, ethnies, régions, religions et faisant foi d’un engagement apolitique au sein de l’organisation.

Le Comité Exécutif est composé de 4 cadres possédant une expérience nationale et internationale dans la conduite de programmes de développement.

  • – Programme d’appui à l’autopromotion
  • – Programme d ‘appui aux mutuelles de santé
  • – Programme de renforcement de la société civile
  • – Programme d’appui à l’entreprenariat
  • – Programme d’appui aux exploitations agricoles intégrées et aux filières alternatives

C’est autour …

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